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«The Old Guard», «La Belle et la Bête»… les nouveaux films de juillet 2020 sur les plates-formes - Le Parisien

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Netflix, Amazon, MyCanal, OCS, Disney +… Vous êtes un peu perdus dans les contenus des différentes plateformes et avez un peu de mal à faire des choix parmi toutes les nouveautés ? Le Parisien vous aide à vous y retrouver. Tous les débuts de chaque mois, nous vous présentons les nouveaux films attendus. Voici le programme pour juillet.

NETFLIX

«Gran Torino»

Vétéran de la guerre de Corée, Walt Kowalski est un type aigri, bourré de préjugés, notamment sur les habitants d'origine asiatique qui ont investi son quartier de Detroit. Quand Thao, un adolescent du voisinage, sous la pression d'un gang, tente de lui voler sa précieuse voiture des années 1970, Walt reprend le chemin de la guerre et devient, malgré lui, le héros du quartier… Avec ce drame d'une maîtrise absolument parfaite, Clint Eastwood brasse plusieurs de ses thèmes de prédilection et réussit à faire le lien entre le flic impitoyable et solitaire des « Dirty Harry » et les héros beaucoup plus sensibles de « la Route de Madison ». Un film qui redevient d'actualité dans le contexte de tensions raciales qui minent les Etats-Unis actuellement... Disponible le 1er juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 5/5

«Emmanuelle»

Emmanuelle, jeune épouse naïve d'un diplomate, part pour Bangkok où son époux lui fait découvrir « un monde nouveau de plaisirs sexuels »... Film érotique emblématique de la libération des mœurs en France, vu par plus de 9 millions de Français qui se sont rués dans les salles obscures et par plus de 500 millions de personnes dans le monde à la télé ou au cinéma, « Emmanuelle » (1974), de Just Jaeckin, débarque sur Netflix et va tenter de s'offrir une nouvelle carrière sur la plateforme. Disponible le 1er juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«The Old Guard»

Une bande de mercenaires immortels - ou presque - défend les humains depuis des centaines d'années, voire davantage, contre les menaces qui pèsent sur eux. De nos jours, les pouvoirs du groupe sont menacés d'être révélés, tandis que le patron d'une entreprise pharmaceutique veut les utiliser comme cobayes pour trouver un remède miracle contre la mortalité... Ambitieuse, bourrée de scènes d'action et d'effets spéciaux, cette nouvelle production originale Netflix parvient également à nous attacher à cette poignée de héros extraordinaires obligés de se cacher car mis en danger. Le casting international est très convaincant, en tête duquel brille l'Américaine Charlize Theron et le Belge Matthias Schoenaerts. Disponible le 10 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3, 5/5

«Dunkerque»

Du 26 mai au 4 juin 1940, l'opération Dynamo permit d'évacuer 330 000 soldats britanniques et 120 000 Français de la plage de la ville où ils étaient acculés par les Allemands. C'est ce morceau d'histoire que conte « Dunkerque », et on n'a jamais vu pareil film de guerre. « Immersif » est le mot qui le qualifie le mieux, tant le long-métrage place le spectateur au cœur de l'action. Pour y parvenir, le réalisateur Christopher Nolan cumule les points de vue et les temps d'action : le film conte une semaine de bataille sur la plage, une journée à bord des bateaux qui tentent d'évacuer les troupes, une heure dans les airs avec les Spitfire anglais qui protègent les navires… Un film ahurissant. Disponible le 10 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 5/5

«Animal Crackers»

Une famille de jeunes américains hérite d'un cirque un peu déglingué et déserté par les spectateurs, ainsi que d'une boîte contenant des biscuits magiques qui leur permettent de se transformer en animaux à volonté... Ce film d'animation au graphisme coloré est signé du réalisateur du « Mulan » de 1998, Tony Bancroft, et au doublage en VO des voix de Emily Blunt et Sylvester Stallone... Disponible le 24 juillet.

PAS VU

«Flight»

Aux Etats-Unis, un avion de ligne en difficulté réussit à atterrir de façon acrobatique et miraculeuse grâce à la dextérité de son pilote, le vétéran Whip Whitaker. Mais, après l'incident, une enquête détermine que la défaillance est en partie due à la responsabilité du pilote, confronté à des problèmes d'alcool cachés à sa hiérarchie. Très étonnant, « Flight » débute comme un film d'action, avant de basculer sur le drame intime d'un homme au-dessus de tout soupçon. Face à Denzel Washington, bluffant dans le rôle de ce sauveur torturé qui refuse d'affronter ses failles, Kelly Reilly, vue dans « l'Auberge espagnole », livre une très belle performance en junkie qui va aider le pilote face à ses propres addictions. Un très grand film. Disponible le 30 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

AMAZON PRIME VIDEO

Intégrale «Divergente»

Adaptée entre 2014 et 2016 de la saga littéraire de Veronica Roth qui a connu un succès retentissant aux Etats-Unis (11 millions d'exemplaires des trois tomes vendus), la trilogie «Divergente » conte le destin de la jeune Beatrice (Shailene Woodley) dans un Chicago futuriste où la société est divisée en cinq clans. Mais lors de son test d'aptitude, elle apprend qu'elle est… Divergente : elle ne correspond à aucune des cinq factions. Au menu des trois films - «Divergente », «L'insurrection » et «Au-delà du mur » : de l'anticipation, des scènes d'action, des effets spéciaux, et de la romance. Bref, avec tout pour plaire au public pré-ado et ado auquel elle est destinée, la saga est à voir au complet sur Amazon... Disponible le 1er juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3,5/5

«La Vie d'Adèle»

L'histoire inattendue est celle d'Adèle, lycéenne, et d'Emma, artiste peintre. Adèle, qui n'envisage pas sa vie sentimentale autrement qu'avec les garçons, est furieusement attirée par cette jeune femme aux cheveux bleus. Commence alors une passion, sensuellement traduite à l'écran. Mais Adèle, ayant brièvement rechuté pour un baiser avec un jeune homme très épris d'elle, provoque la jalousie cruelle de son amante. Filmé au plus près des peaux, des regards et des âmes, « la Vie d'Adèle », Palme d'Or à Cannes en 2013, a radicalement bousculé les codes, réveillé la notion d'audace et ouvert aux scénaristes des territoires où ils n'osaient pas s'aventurer. Un très grand moment de cinéma. Disponible le 1er juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Les Onze Commandements»

Le Dieu de la blague somme Michaël Youn et ses amis de rendre le sens de la rigolade aux Français, devenus tristes. Et il leur confie 11 commandements, à populariser et à faire respecter... Sur cette trame, Youn et ses copains partent, dans cette comédie datant de 2004, en roue libre, multipliant les gags et les situations cocasses, parfois au prix de leur intégrité corporelle, à l'image de ce que réalisait l'émission américaine « Jackass ». Tous les sketchs ne se valent pas, mais certains sont irrésistibles. Les humoristes nous livrent bien plus que les 11 commandements requis, en ajoutant d'autres sketchs dont certains servent de fil rouge. Disponible le 1er juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«The Vast of Night»

Dans les années 1950, au coeur d'une petite ville américaine, l'animateur d'une radio locale et une standardiste, qui ne se connaissent pas, détectent tous les deux une étrange fréquence sonore avec des appels interrompus et des sons inconnus. Ils vont enquêter ensemble, tandis que des phénomènes, d'abord sonores, puis lumineux, se multiplient dans les environs... Remarqué ou primé dans des nombreux festivals de films indépendants ou fantastiques, «The Vast Night » arrive sur la plateforme auréolé d'un gros buzz positif...Disponible le 3 juillet.

PAS VU

«xXx: Le Retour de Xander Cage»

Revoilà Xander Cage, sportif de l'extrême embauché par une agence gouvernementale pour des missions impossibles. Quinze ans après le premier « XXX », Vin Diesel reprenait son rôle en 2016 : cette fois, il doit récupérer une arme capable de faire tomber des satellites sur Terre. Ce « XXX » ferait passer un documentaire sur la chute libre pour un film d'art et d'essai, mais on le recommandera aux amateurs du genre, car tous les ingrédients qui font le sel de ce type de film y sont présents : courses-poursuites effrénées, cascades, explosions, filles sexy qui se battent comme des lionnes en tenue légère…Un fantasme assumé de mâle adolescent, la cible principale de cette farce pétaradante. Disponible le 18 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«Seberg»

Inspiré d'une période - assez méconnue en France - de la vie de la comédienne Jean Seberg, cette fiction conte comment l'actrice, qui soutenait activement le mouvement des Black Panthers, fit l'objet d'une manipulation machiavélique du FBI pour la discréditer... Cette nouveauté inédite, assez inégale, a tout de même le mérite de montrer à quel point les services secrets américains pouvaient espionner et surtout s'immiscer dans la vie quotidienne des gens, même s'ils étaient des figures publiques. Dans le rôle-titre, Kristen Stewart fait, une fois de plus, forte impression. Disponible le 24 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

MYCANAL

«Donne moi des ailes»

Thomas doit passer les vacances d'été chez son père. Mais pour cet ado accro aux jeux vidéos, l'idée de s'enterrer en Camargue sans Wi-Fi ressemble à un cauchemar. D'autant que son père est obsédé par l'étude des oies sauvages, une espèce menacée de disparition : il a même construit un ULM afin d'accompagner un groupe d'oiseaux dans sa migration. Mais peu à peu, Thomas va se passionner lui aussi pour ce projet fou et embarquer avec son père… Joli conte écolo, « Donne-moi des ailes » embarquera tous les spectateurs prêts à fermer les yeux sur quelques invraisemblances. Et on se laisse émouvoir par ce récit et les paysages scandinaves de toute beauté. Disponible le 3 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«Wedding Nightmare»

C'est le plus beau jour de la vie de Grace, une jeune et jolie blonde : elle vient de se marier avec Daniel, héritier d'une famille ayant fait fortune dans les jeux de société. Mais elle ignore que, comme tout nouvel arrivant dans la famille, elle doit lors de sa première nuit de noces participer, avec les autres convives, à un jeu de société tiré au sort. De ce postulat complètement abracadabrant, le duo de réalisateurs, spécialiste des films d'horreur à petit budget, tire une comédie satirique qui dérape rapidement, pour verser dans des scènes de plus en plus gore, mais jamais dénuées d'humour. Horrible et comique, le mélange n'est pas évident mais il est ici fort réussi. Disponible le 4 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Papicha»

Alger, 1990. Étudiante en cité universitaire, Nedjma, 18 ans, veut s'amuser, aller à la plage et sortir en boîte avec ses copines. Passionnée de stylisme, elle confectionne et vend des robes en dehors des cours. Mais la guerre civile commence : dans la rue, les attentats se multiplient et à l'intérieur de la fac, des patrouilles de femmes en hidjab viennent menacer les filles qui ne se voilent pas. Après un drame, Nedjma va tenter de « résister » en organisant un défilé de mode dans la cité universitaire… « Papicha » brosse le portrait d'une jeune femme libre dans la décennie noire algérienne et raconte son combat bouleversant contre l'oppression. Hymne à l'insoumission, ce film se révèle parfois déchirant, mais surtout exaltant. Disponible le 7 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Au nom de la terre»

Pierre, 25 ans, rentre des Etats-Unis avec l'ambition de reprendre la ferme de son père. Amoureux de Claire, Pierre nourrit de grands projets et se sent plus entrepreneur que paysan. Vingt ans plus tard, le couple a deux grands enfants et le domaine, racheté au père de Pierre, se consacre à l'élevage de chevreaux. Mais les coûts augmentent et les dettes s'accumulent. Pour s'en sortir, Pierre choisit de se lancer dans l'élevage intensif de poulets. Le gouffre s'agrandit… Inspiré de la propre histoire du père du réalisateur, un drame qui fait écho aux problèmes que rencontre le monde paysan d'aujourd'hui. Implacable et bouleversant, le film a séduit plus de 2 millions de spectateurs en salles. Disponible le 21 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Galveston»

Roy, petit gangster à la Nouvelle Orléans, s'embrouille avec son patron. Malade, il va fuir jusqu'au Texas, en compagnie d'une jeune prostituée, Rocky, qu'il embarque après une fusillade sanglante. Les deux fuyards vont apprendre à se connaître… Mélanie Laurent s'en tire plus que bien avec ce premier film de commande américain. Plans audacieux qui tirent le meilleur parti de somptueux décors naturels, récit nerveux, séquences émouvantes, « Galveston » fait de l'effet. Et met en avant deux formidables comédiens : Ben Foster, remarquable en loser taiseux, et surtout Elle Fanning, qui, une fois de plus, crève l'écran. Disponible le 26 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Matthias et Maxime»

Des trentenaires se réunissent dans une grande maison au bord d'un lac québécois. Parmi eux, Maxime, à la vie sentimentale et familiale compliquée, et Matthias, dont l'existence est au contraire toute tracée, sont amis depuis l'enfance. Pour les besoins d'un court-métrage, ils vont devoir s'embrasser, ce qui va chambouler leur amitié… Réflexion toute en tons pastel sur l'amitié et l'amour, le huitième film de Xavier Dolan, respire, malgré les troubles que peuvent ressentir les deux personnages principaux, la légèreté et la joie de vivre. Enlevé, enthousiasmant, grave aussi par moments, « Matthias et Maxime », remarquablement mis en scène et interprété, tient de l'ode gracieuse à la liberté. Disponible le 28 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

OCS

«First Love»

Dans la production pléthorique et inégale du cinéaste japonais Takashi Miike, ce « First Love » fait partie du haut du panier. Le Japonais s'intéresse ici à Leo, un jeune boxeur talentueux qui découvre qu'il est atteint d'un mal incurable. Son chemin croise par hasard celui de Monica, une toxicomane prostituée de force, que son père a vendue à des truands pour éponger sa dette. Les deux se retrouvent traqués par une bande de yakuzas, l'ancienne « propriétaire » de Monica et un policier ripou… Scènes d'action sanglantes, rebondissements à la pelle… « First Love » fait plus qu'évoquer le Quentin Tarantino des débuts. Un polar survitaminé qui mérite le détour. Disponible le 2 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Tout ce qu'il me reste de la révolution»

Angèle, fille d'un maoïste qui n'a rien lâché et d'une mère qui a déserté la lutte et s'est exilée à la campagne, continue à pester contre la marche capitaliste des choses. Sa sœur, elle, a épousé un patron de start-up cynique qui ne jure que par l'argent... Cette comédie d'une fraîcheur absolue compte des séquences franchement comiques. Judith Davis fait merveille devant et derrière la caméra. Disponible le 15 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«Port Authority»

Paul, 20 ans, débarque de Pittsburgh (Pennsylvanie) à New York, où il est censé être hébergé par sa demi-sœur. Mais il atterrit en fait dans un centre d'accueil pour SDF. Là, il est pris sous l'aile de Lee, qui dévalise des sans-papiers en se faisant passer pour un flic. Un soir, alors qu'il est seul, Paul rencontre Wye, une très jolie fille qui participe à des concours de drag-queens. Il va se faire adopter par sa « famille », jusqu'au jour où il découvre son secret… « Port Authority » est un film âpre, parfois éprouvant, parce qu'il met en scène un gamin écorché vif dans un univers violent et amoral. L'espoir surgit lorsqu'il se lie avec une femme à la vie cabossée elle aussi, mais entourée par une communauté aimante. Un beau film, très actuel, sur la tolérance et la solidarité. Disponible le 18 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

DISNEY+

«Basil Détective privé»

A Londres, à la fin du XIXème siècle, une jeune souris dont le père a été enlevé fait appel au détective privé le plus fameux de la ville, Basil. L'enquêteur, aidé de ses amis, va se lancer sur la piste d'un ignoble rat qui a des plans diaboliques pour étendre son emprise sur la cité... Co-signé par Ron Clements, futur réalisateur de «La Petite Sirène », «Aladdin » ou «Vaïana », ce «Basil détective privé », qui date de 1986, fait partie des pépites du catalogue Disney+ qu'on ne pouvait plus voir depuis longtemps. Merveilleux, graphiquement enlevé, drôle, très rythmé et plein de suspense, le film met en scène un Sherlock Holmes qui prend l'apparence d'une souris, et tous les personnages sont des animaux : rats, chiens, chauve-souris... Idéal pour les 6 ans et plus. Disponible le 2 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 4/5

«Eddie the Eagle»

De l'équipe de bobsleigh jamaïquaine dans « Rasta Rockett » aux aventures d'un skieur algérien dans « Good Luck Algeria », le cinéma adore les histoires de bras cassés qui réussissent des exploits impossibles. La preuve avec « Eddie the Eagle », alias Eddie Edwards, Britannique qui rêvait de devenir champion olympique. Il arriva à se retrouver aux JO de Calgary en 1988. Un exploit pour celui qui s'était endetté pour s'acheter son équipement et qui opta… pour le saut à ski. Malgré ses piètres performances, il attira l'attention des médias du monde entier. Bourré d'humour, il fut même baptisé l'Aigle par le président du comité d'organisation des JO. Cette fiction avec Taron Egerton, Hugh Jackman et Christopher Walken retrace son parcours. Disponible le 10 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«Hocus Pocus»

Sous -titré «Les trois sorcières », cette fable fantastique, en partie musicale, datant de 1993, conte comment trois des fameuses «sorcières de Salem », Winifred, Sarah et Mary, reviennent d'entre les morts de nos jours, soit 300 ans après leur procès, à la suite d'un maléfice. Elles vont s'en prendre aux habitants lors d'une soirée d'Halloween... Bizarrerie dont les effets spéciaux n'ont certes pas très bien vieilli, «Hocus Pocus » mérite le coup d'oeil pour la réalisation nerveuse et enlevée de Kenny Ortega - l'homme derrière le «High School Musical » original ou le film « Michael Jackson's This Is It »-, et pour les performances très drôles du trio d'actrice formé par Bette Midler, Sarah Jessica Parker et Kathy Najimy. Disponible le 16 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«La Belle et la Bête»

Il était une fois une jeune bergère française qui, au XVIII e siècle, se réfugia dans le château d'un prince maudit, transformé en bête terrifiante. Celui-ci ne tarda pas à tomber amoureux de la jeune fille, belle et rebelle. Mais comment le lui faire comprendre, quand on a un aspect si monstrueux ? Nouvelle adaptation, sortie en 2017, d'un conte français, cette « Belle et la Bête » est surtout une transformation en images réelles du classique dessin animé de Disney de 1991. Le réalisateur Bill Condon a refait presque plan par plan les séquences mettant en scène les « objets vivants » de l'histoire, et il a su humaniser l'ensemble en insistant sur la relation entre la Belle et la Bête. Et tout le film est porté par l'interprétation et la voix — elle chante merveilleusement — d'Emma Watson. Disponible le 24 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5

«Clochette et la fée pirate»

Dans ce cinquième film mettant en avant Clochette en tant qu'héroïne Disney à part entière - toujours doublée par la chanteuse Lorie, la rebelle Zarina s'échappe en emportant avec elle une bonne dose de la poussière magique sur laquelle elle est censée veiller. Elle intègre une vilaine bande de flibustiers dirigée par un mousse intrigant, prénommé James, tandis que Clochette et ses copines fées sont lancées à ses trousses... Si son scénario s'avère un peu alambiqué, le film présente tout de même un intérêt notable : l'introduction d'un personnage clé, le pirate James, qui n'est autre que le Capitaine Crochet en devenir, futur bourreau de la fée dans « Peter Pan », adaptation Disney de 1953 de la pièce de théâtre du Britannique JM Barrie. Or « Clochette et la Fée pirate » livre une description de James que l'auteur n'aurait sans doute pas reniée : retord, perfide, angoissé et même assez froussard… Disponible le 24 juillet.

LA NOTE DE LA RÉDACTION : 3/5




July 04, 2020 at 10:14PM
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